Wednesday, April 21, 2010
Une reflexion
De plus, les concepts de la famille, la propreté et même la nourriture étaient exprimés dans son personnage. On peut voir l'évolution des Franco-américains au cours des années, et l'importance des lieux comme les moulins (où les enfants ont travaillée à l'âge de neuf ans!!!!) et les événements historiques comme la second guerre mondiale qui a aidé avec l'idée de l'égalité pour les Francos. L'usage de la chanson, la musique et les accents différents n'ont qu' ajouté à la représentation de la vie de Susan et la façon captivant de montrer l'identité franco-américaine.
Tuesday, April 20, 2010
Susan Poulin
Dans lesquels aspects de votre vie, est-ce que vous voyez la plus grande présence de votre patrimoine française?
En ce qui concerne l'identité franco-americaine, est-ce qu'il y a une grande différence entre votre génération et la génération actuelle dans l'état de Maine? Comment?
Tuesday, April 13, 2010
Deux femmes, deux générations
Je voudrais écrire sur le sujet des différences entre les générations de Rose Aimée et Eglantine et comment la survivance avait changé après des années. M’intéressent des rêves de chaque femme et la capacité pour faire ces rêves en réalité. A mon avis, la différence de temps et de situation est le facteur le plus important. Les Franco, qui sont arrivées premiers, devaient créer une nouvelle vie pour eux-mêmes et leurs familles sans l’aide et la connaissance de la langue. La nouvelle génération de Rose Aimée était nées dans une monde où ils étaient déjà américains, avaient la fondation familial déjà là, avaient l’anglais dans l’école et n’avaient pas encore les responsabilités de famille et de travail. En grandissant, leur survivance existe dans l’économie du pays, pas de prospérité de terre. On peut voir ces aspects de la vie dans les vies de la mère et sa fille : les deux femmes et leurs rêves.
Sunday, March 28, 2010
Le langage de l'Acadie
La langue est une force unifiant qui est la base des interactions humaines. C’est la chose qui prévient la isolation et fait les liens avec d’autres. Pour les Acadiens, c’est la langue, après la Grand Dérangement qui a lutté contre l’isolation d’un peuple. Sans terre et séparés, la culture et la mémoire peuvent être tendues, mais ne sont pas perdues grâce a la langue.
Le langage devient une corde invisible qui noue les gens acadiens tout ensemble. La langue français les reunit dans un “lieu de memoire”. « L’Acadie de mon enfance n’avait ni terre ni nationalité, ni statut juridique, ni droits civiques, ni rien. Ce pays n’était même pas un endroit, mais un envers; il n’existait pas dans l’espace, seulement dans le temps.” (121) Elle sert de ciment pour lier les éléments communs aux membres du group. La faite qu’il est impalpable ne le fait que plus forte. La langue existe dans les cœurs de l’individu et ainsi devient une partie de son identité. Elle représente la culture qui sépare les Acadiens des autres étrangers. A travers la langue, l’Acadie toujours existe. “L’Acadie est encore la. Du moins un groupe ethnique descendant d’une même souche vit dans un cadre déterminé et parle les mêmes mots avec la même lente intonation que le trahit a tout coup.” (101)
A l’époque avant de parole écrit, c’est le langage qui continue les contes d’une peuple et transmit des mœurs et des histoires de une génération à l’autre. « Je veux dire que là les légendes sont de vraies légendes qu’on a vécues et qu’on se transmet comme des bijoux de famille ; que les chansons sont chantées, les danses dansées, et la langue parlée le dimanche comme en semaine dans les mêmes mots.. » On ne peut pas le voler ni le détruire. Le seul ennemi de la langue, c’est la honte et le manque d’usage.
“Vraiment je ne connais qu’un langage capable de vous livrer l’âme d’un people. … Faites parler les poètes et les conteurs.” (101)
Sunday, March 21, 2010
Les Franco-Americains
"Leur histoire, longtemps ignorée du grand public." Les histoires des Cadiennes et des Franco-Americains les deux ne sont pas bien connues par le monde. Pas comme les Cadiennes de Louisiane, la plus grande partie des canadiens français se sont installés dans le Nord-Est : les états du Vermont, du Maine, et de New York. "Leur mode de vie tourne autour de la famille, de l'usine et de l'église. Pas comme les communautés cadiennes qui se sont restées dans la société et la religion après que le grand dérangement a séparé beaucoup de familles et a déplacé les gens a nouvelle terre.
Les familles ont formé les communautés de "Petit Canada." Autre différence est que les franco-américains sont venus aux Etats-Unis pour trouver une vie meilleure. Comme les masses d'émigrants européens, les canadiens français ont vu la attraction des industries du textile et la salarie d'usine, en particulier avec la grande Révolution industrielle. Ils étaient « victimes de leurs propres illusions ».
A cet égard, il y a une différence entre les Franco-Americains et les Cadiens dans leur relation avec un lieu ou une terre physique. Les Cadiens existe dans un lieu de mémoire, pendant que les canadiens, au moins, ont un lien avec le Canada, en particulier la Province de Québec. « Les émigrants en provenance du Québec n’avaient jamais eu à traverser la mer pour arriver a destination et ont toujours pu rentre au Canada pour rendre visite à leurs parents et amis restés au nord de la frontière. De plus, les journaux de langue française tenaient compte de l’actualité au Québec. »
Pour les deux sociétés "la lange doivent servir de ciment pour lier les éléments communs aux membres du group. C'est donc au moyen de la langue française que les valeurs culturelles seront transmises de génération en génération, parmi celles-ci la plus importante reste la religion catholique." On voit ici l'importance de la religion aussi. Toutefois, les Franco-Americains mettent plus de l'accent sur la religion le mettant au niveau de l'importance de la langue. Les membres de la société ont formé « un réseau de coreligionnaires, liés par leur foi catholique et par la langue française. "Qui perd sa langue, perd sa foi" En même temps, c’est intéressant que les deux communautés ont eu une croyance en la souffrance ou la misère.
Les écoles élémentaires franco-américaines montrent la transformation bilingue de l'enseignement. "Les matières essentielles a l'insertion dans la vie américaine dont les mathématiques, la géographie, l'histoire et l'anglais, occupent la moitie anglophone de la journée scolaire. Le catéchisme, l'histoire sainte, l'apprentissage de la langue française et, assez souvent, l'histoire du Canada français, remplissent la partie enseignée en français." Donc, on a séparé par langue la vie privée et la vie publique. La langue français était utilise pour préserver la culture et la religion, pendant que l'anglaise devient la langue de la quotidienne.
Sunday, February 28, 2010
la langue acadienne
Maillet souligne très évidement ce qui les Acadiens sont et ce qui les Acadiens ne sont pas. Maillet décrit l’idée de « nous » et des « autres » celles qui ne savent pas les épreuves de l’exil. Les autres doivent comprendre que
L’Acadie
- n’existait pas dans l’espace, seulement dans le temps
- n’est plus un pays avec son gouvernement, sa capitale, son statut juridique
- ce n’est pas davantage une colonie, même pas une province
- n’est ni français, ni canadien, ni québécois
- n’est pas un territoire juridique
Au contraire, les Acadiens
- retracent leurs racines jusqu’aux seize et dix-septième siècles
- parlent une vieille langue, sortie de la vieille France
- une langue qui n’avait pas encore été codifiée pas les académies ou des échanges étrangers
- sont conscient de la syntaxe boiteuse et de le vocabulaire limité, ils veulent que chaque mot porte
- existent entre deux chapitres des chroniques de France et d’Angleterre
Il me semble que les Acadiens sont unifiés par une langue et l’histoire que la langue aide survivre. Il existe une culture orale qui est une partie intégrale de la recherche pour une identité. La tradition orale est l’aspect plus important pour la continuation de leur culture. « Je veux dire que là les légendes sont de vraies légendes qu’on a vécues et qu’on se transmet comme des bijoux de famille ; que les chansons sont chantées, les danses dansées, et la langue parlée le dimanche comme en semaine dans les mêmes mots.. »
J’ai pensé que une phrase était très intéressante :
-Les Acadiens quittent l’Acadie?
- - C’est l’Acadie qui les quitte.
Ils sont peuple sans terre.
Tuesday, February 23, 2010
Quelle sorte de symbole est-ce que l'histoire (la legende) d'Evangeline represente pour les Acadiens ? Comment est-ce que ce poeme (et son histoire) a influence la litterature et/ou la culture (a)cadienne ?
“It was a band of exiles: a raft, as it were, from the shipwrecked
Nation,
scattered along the coast, now floating together,
Bound by the bonds of a common belief and a common misfortune ;
Men and women and children, who, guided by hope or by hearsay,
S
ought for their kith and their kin among the few-acred farmers
On the Acadian coast, and the prairies of Opelousas.
With them Evangeline went, and her guide, the Father Felician.”
La légende continue en décrivant l’amitié en exil des Acadiens qui se rapprochaient par un pays commun et la mentalité positive de leur nouvelle terre.
Welcome once more, my friends, who so long have been friendless
and homeless,
Welcome once more to a home, that is better perchance than the
old one !
Evangeline fait connaissance de beaucoup de gens pendant ses voyages et montre les aspects différents de la société. En fin de compte, on peut voir la progression et l’évolution de ses recherches. Elle était jeune et pleine de joie et d’espoir, mais au cours des années elle devient vieille et oublié, comme les Acadiens. Après le Grand Dérangement, le passé et l’histoire de leur culture était perdu et a continué a existe mais n’était jamais le même.
Like a phantom she came, and passed away unremembered.
Fair was she and young, when in hope began the long journey;
Faded was she and old, when in disappointment it ended.
Each succeeding year stole something away from her beauty,
Leaving behind it, broader and deeper, the gloom and the shadow.
A la fin, Evangeline trouve son amour avant son mort, pour démontrer qu’il y a toujours l’espoir pour les Acadiens. L’histoire montre aussi l’usage de la langue pour continuer la fierté et la culture des Acadiens.