Sunday, February 21, 2010

“Acadie, home of the happy.”

“Acadie, home of the happy.” Longfellow représente les Acadiens comme un peuple simple de paix et de contentement qui vivait indépendamment, dehors le règne d’une monarchie. Il montre une mode de vie fondé dan l’économie rurale et l’agriculture. « Thus dwelt together in love these simple Acadian farmers, —Dwelt in the love of God and of man. Alike were they free fromFear, that reigns with the tyrant, and envy, the vice of republics…. 
There the richest was poor, and the poorest lived in abundance.” Les Acadiens sont vues comme une confrérie qui partage tout et sont connecté par les liens de égalité. Comme Maria Chapdelaine, Longfellow explique aussi l’importance de la nature dans leurs vies avec sa description des saisons. « All the signs foretold a winter long and inclement. Cold would the winter be, for thick was the fur of the foxes.Such was the advent of autumn. Then followed that beautiful season,Called by the pious Acadian peasants the summer of All-Saints !Filled was the air with a dreamy and magical light.”

Il a décrit aussi la relation entre les Acadiens et les Anglais. Au début, la mystère et le but de leur présence, le réponse de fuir vers la forêt et puis le décret du roi « The will of our monarch;Namely, that all your lands, and dwellings, and cattle of all kindsForfeited be to the crown; and that you yourselves from this provinceBe transported to other lands. God grant you may dwell thereEver as faithful subjects, a happy and peaceable people !Prisoners now I declare you; for such is his Majesty's pleasure!” Longfellow démontre la fierté des Acadiens ("Down with the tyrants of England ! we never have sworn them allegiance !Death to these foreign soldiers, who seize on our homes and ourharvests !") aussi bien que la besoin et la valeur de la religion (Let us repeat that prayer, in the hour when the wicked assail us,Let us repeat it now, and say, `0 Father, forgive them!'") pendant les temps d’épreuves et d’affrontement.

Tuesday, February 2, 2010

1) Quelles images des "autres" (les Francais, les Etats-Unis, etc.) ressort(ent) de ces chapitres ? Qu'est-ce que l'"ailleurs" représente ?

« C’est drôle, comme chacun a du mal à se contenter » ou comme disent les américains, « the grass seems to always be greener on the other side ». Ce qui est intéressante dans le livre est que pour chaque personne existe un « ailleurs » différent. Les gens de chaque group voient un peuple spécifique comme « des autres » pendant qu’ils deviennent « des autres » eux-mêmes. Hémon crée un portrait détaillé de tous des environnements soit la France soit les Etats-Unis, ou même le Canada, et comment chacun apparaît d’un point de vue d’ « ailleurs ».

Les Canadiens voient les trois Français et Lorenzo « comme si de leur présence simultanée dussent naturellement jaillir des récits merveilleux, des descriptions de contrées lointains aux mœurs étranges » (134). La vie des grandes villes et cités semble d’être des riches, de l’extravagance et d’une facilité. Au contraire, les Français ne voient que « la lassitude du trottoir et du pavé, l’air pauvre des villes, et la révolte contre la perspective sans fin d’une existence asservie » avec la vie du Canada comme la vie saine et libre dans l’air pur, près des grandes forêts. Ils n’ont pas vu les mouches noires, ni le froid de l’hiver, ni les duretés de la terre, jusqu'à ils y sont arrivées et « ailleurs » est devenu leur terre aussi.

Pour la mère Chapdelaine, « ailleurs » n’est qu’un lieu d’une moindre vie. « Il n’y a pas de plus belle vie que celle d’un habitant qui a une bonne terre » (140). A l’avis de Lorenzo, cette ne pouvait pas être plus loin de la vérité. Il parle avec chaleur et d’abondance de la vie plaisante et sûre avec les chars électriques, les lumières, les magasins et plus, le monde. Pour lui, la vie de bois est une vie de la misère.

Finalement, il y a Maria et l’escape qui vient d’ailleurs, le chagrin et douleur du bois et sa confusion sur sa place dans la vie.


2) Reflechissez au personnage de Maria--ses choix dans la vie, ses devoirs, son avenir, etc--et comment et represente la femme quebecoise traditionnelle. Qu'est-ce qu'Hemon veut dire a ses lecteurs a propos de la femme au Quebec?

A mon avis, Maria montre les aspects traditionnelles de la femme québécoise a travers sa silence et l’importance de la religion et la famille, mais elle contraste avec sa désir d s’en aller. Elle décrit le bois comme impénétrable, hostile et plein de secrets sinistres, pas comme sa mère qui ne voit que la vie la plus belle. Aussi, pendant que Maria se bat avec le monde autour d’elle Hémon crée un rapport entre Maria et la nature. « Elle n’est que simple et sincère, et proche de la nature qui ignore les mots » (152). Ses racines existent au Canada comme le bois, mais le choix de son avenir est le sien et personne d’autre. Personne ne contrôle la nature et personne ne peut décider son sort entre Lorenzo et Eutrope, une vie nouvelle de changement ou la vie traditionnelle de terre.

Sunday, January 31, 2010

La nature et le bon Dieu

Quelle est l'importance de la religion pour les Québécois ? Pourriez-vous trouver des scènes importantes qui soulignent vos idées ?


Le livre explique que la vie est dictée par l'accord entre la soumission aux lois de la nature et de l'Eglise. Les deux sont vues comme naturels et nécessaires et forment une sorte d'influence dans chaque moment. Si on veut vraiment quelque chose, on ne souhait pas de cette chose, on prie comme Maria a priée pour François. En général, la religion ne devient pas seulement une chose d'aide et de guidance mais de plaisir et confort. "Aller a la messe de minuit, c'est l'ambition naturelle et le grand désir de tous les paysans canadiens, même de ceux qui demeurent le plus loin des villages." (102) Autre exemple de l'importance de la religion est le rôle du prêtre qui "n'est pas seulement le directeur de conscience de ses ouailles, mais aussi leur conseiller en toutes matières, l'arbitre de leurs querelles, et en vérité la seule personne différente d'eux-mêmes a laquelle ils puissent avoir recours dans le doute." (127). C'est la volonté de Dieu qui existe au-dessus de tout. Dans la scène, où Maria parle avec le prête, il explique que le bon Dieu n'aime pas son attitude a l'égard de l'amour pour un homme qui "était rien" a elle. Ses émotions ne signifient rien, ce qui est importante et juste, c'est le point de vue religieux.

Tuesday, January 26, 2010

1) Comment est-ce que ce livre est en quelque sorte le livre "par excellence" de cette idéologie?

Le livre de Maria Chapdelaine montre évidement "l'idéologie de conservation" de pas seulement la culture québécoise mais l’héritage des pionniers et des défricheurs canadiens. L’idée de "s'installer sur une terre, trouver une paysanne et fonder un foyer Chrétien est évident dans la famille Chapdelaine et la vie sédentaire. La religion est un thème constant, avec la distance de leur maison de l’église étant le problème principal. Aussi la relation entre la nature, Dieu et leurs vies devient une idéologie dominante. Les saisons canadiennes sont décrites en détail par sa rapport avec le travail de bois.

Le livre démontre aussi, les rôles des hommes et des femmes pendant cette époque-là. Les femmes ont fait l’ouvrage habituel comme la tenue de la maison, la lessive et bien sûr, cuisiner pendant que les hommes vont « faire de la terre ! » Cette idéologie de cette manière de vie continue avec l’histoire de la exploration de la Canada par les canadiens ou québécois avec les contes de Légaré de la misère vraie. « Il y a trente ans, quand on a fait la ligne pour amener les chars de Québec, j’étais là, moué, et je vous dis que ça c’était de la misère. » (68) Il parle du manque de la nourriture, des vêtements, du refuge et l’intensité de travail, tout pour créer une vie au Canada.

Je crois que c’est pour cette raison que les personnages qui optent pour un autre mode de vie, (comme ceux qui cherchent un meilleur sort aux Etats-Unis [Lorenzo Surprenant]) sont considérés comme des traîtres.

2) A votre avis, pourquoi est-ce que Louis Hemon a choisi une femme comme son personnage principal, surtout pour un texte qui represente la culture quebecoise de son époque ?

J’aime bien l’analogie de la femme et la nature parce que c’est vrai que la nature et la terre sont toujours personnifiés comme une femme ou dans un façon féminine, cependant à mon avis, il y a autre raison. De point de vue littéraire, il me semble que un personnage principal féminin crée plus d’opportunités pour montrer les personnages différentes et les sentiments pour la culture. Avec Maria, Hémon peut montrer les types différents des hommes pendant cet époque a traves les « intérêts » de la fille. L’homme d’aventure, l’homme sédentaire, l’homme des manufactures des Etats-Unis. Au même temps, on peut voir la mentalité modeste de la femme au rapport des hommes, mais toujours d’amour et d’espoir pour une vie joyeuse. Les femmes peuvent montrer la nature vraie d’une société parmi les aspects changeant du temps. Les femmes sont plus près de la tradition de famille et sa dynamique mais sont plus ouvertes des idées d’autre mode de vie.